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"Je reçois beaucoup de gratitude et de reconnaissance"

— La vocation

"Je reçois beaucoup de gratitude et de reconnaissance"

Pourquoi je fais ce travail ? Je suis de nature sociable et je reçois beaucoup de gratitude. Je détermine mon approche en grande partie. Et tout ce que nous faisons en plus pour les autres, c’est la cerise sur le gâteau. Je suis toujours reconnaissante de pouvoir travailler au contact d’autres personnes et de prendre soin d'elles. Les beaux moments dominent, bien qu'il y ait aussi des moments difficiles. Heureusement, nous pouvons alors compter sur le soutien d’une équipe forte, qui se serre les coudes.

Ce que j’aime moins ? C'est cette concurrence qui existe entre les différentes organisations. Cela ne contribue en rien à la qualité des soins, qui devrait être une priorité à mes yeux.

Une journée typique pour moi ? Ma journée commence vers 5h30 ou 6h00 du matin. J’effectue ensuite ma tournée de visites chez mes patients qui se termine à 13h30. Je m’attelle alors à des activités diverses : brève consultation, administration, facturation, concertation avec des médecins et les familles de me patients, etc. De temps en temps, je fais encore une tournée le soir, entre 17h30 et 20h30, suivie d'un peu d'administration. Je travaille en général 7 jours par semaine, même si je m’accorde une petite semaine de vacances chaque année.

Comme je fais pour tenir le coup ? Par amour pour la profession et parce que je reçois beaucoup de gratitude et de reconnaissance. La devise « Vos soins sont mes soins » me décrit vraiment parfaitement bien. Au fil des ans, j'ai vu les soins à domicile évoluer considérablement. Dans le cadre des soins à domicile, nous sommes presque toujours seuls et nous avons peu d'endroits vers lesquels nous tourner pour poser nos questions. Avant, nos tâches étaient plus limitées ; nous aidions les patients à se laver ou à faire pipi. Aujourd'hui, nous avons affaire à des plaies complexes, des pompes antidouleur et un tas de problèmes sociaux.

Carla Buyse
Fondatrice de Thuisverpleging Aalter-Knesselare

Être infirmier(ère), c’est une grande aventure humaine. Offres d'emploi!


Je suis extrêmement fière de mon titre d’Aide-soignante de l'année et je le dédie à tou(te)s mes collègues.

« Me sentir concernée par les soins que je prodigue ! » À l'âge de 15 ans, je le savais déjà : je voulais prendre soin d’autres personnes. Aujourd'hui, c'est toujours une vocation – quelque chose que vous devez également ressentir à mon avis. Une bonne dose d’amour, de respect, de tendresse et de discipline et vous êtes déjà bien partis. Entre-temps, cela fait 24 ans que je travaille comme aide-soignante à l'hôpital Onze-Lieve-Vrouw Ziekenhuis d'Alost, dans le service de neurochirurgie/chirurgie de la bouche, de la mâchoire et du visage.

« Ce n’est pas qu’un travail : c’est une vocation ! »

Après avoir suivi une formation d’enseignement supérieur en soins infirmiers via le VDAB, j’ai décidé quelques années plus tard – après le décès de ma mère – de reprendre mes études. À l’école supérieure Hogeschool West-Vlaanderen (Howest), j'ai obtenu mon diplôme de Bachelier et j'ai également suivi des cours de cardiologie, de radioprotection et de positionnement à l’aveugle. Et ce, toujours dans l'optique de la fonction que j'exerçais à ce moment-là. Continuer à apprendre me passionne.

« En fin de journée, ce qui reste c'est un sentiment positif »

À l’âge de 7 ans, je disais déjà que je voulais devenir ambulancier. Et voilà : mission accomplie ! Je travaille également en tant qu’infirmier du travail et expert en prévention. Mais ces 25 dernières années, je les ai passées en tant qu’infirmier au service des urgences.

Un sourire ne coûte rien, mais vaut tout l’or du monde.

Les études de langues, ce n’était vraiment pas mon truc. Du coup, quand j’ai entendu mon amie parler avec tant d’enthousiasme de ses études d’infirmière, j’ai décidé de m’inscrire à l’Institut Vesalius de Gand. Il a suffi d’un seul jour de stage pour me convaincre que j’avais pris la bonne décision. Cela a changé ma vie : j’ai compris que j’aimais prendre soin des gens, j’ai pris confiance en moi, et je me suis découvert un véritable talent pour la communication.

J’ai trouvé ma vocation quand ma grand-mère est tombée malade.

J’ai changé d’orientation plusieurs fois, sans jamais vraiment trouver ma voie. Comme j’adorais la cuisine grecque, j’ai finalement décidé de devenir chef-coq. Mon école secondaire ne proposait pas d’option Cuisine, donc j’ai rejoint la section Soins de santé par dépit, en attendant de pouvoir faire ce qui m’intéressait vraiment. Et puis ma grand-mère est tombée malade. Elle s’en est heureusement sortie, après un séjour à l’hôpital. Je lui ai alors promis de m’occuper d’elle si elle devait à nouveau tomber malade. Ce jour-là, j’ai trouvé ma vocation, et je n’ai plus jamais douté depuis.

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