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« En fin de journée, ce qui reste c'est un sentiment positif »

— La vocation

« En fin de journée, ce qui reste c'est un sentiment positif »

Le plus bel emploi du monde

J’ai le plus bel emploi du monde et ce, quelle que soit la facette envisagée. C'est peut-être un cliché mais aider les autres, c'est vraiment ce qu’il y a de plus motivant. Cela a une valeur inestimable. Sans oublier que ce travail est extrêmement varié. Bien sûr, il y a parfois des moments difficiles, mais il y a aussi tellement de belles histoires... Un accouchement sur une échelle d'incendie, qui peut se vanter d'avoir vécu ça ?

Les attentats de Zaventem restent pour moi un événement marquant. Ils ont eu un fort impact sur moi. Mais en fin de compte, on finit aussi par surmonter ce genre de choc émotionnel. Parfois, les journées semblent interminables. Mais en fin de journée, ce qui reste c’est un sentiment positif. Une personne qui n'a pas peur de relever des défis ou qui souhaite aider les autres, est à la bonne place dans le secteur des soins de santé.

Et pour terminer cette interview, rien de tel que ma devise : vivez pleinement. Cela veut tout dire, non ?

 

Erik De Vadder

VOTRE VOCATION EST UNE SOURCE D’INSPIRATION

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Être infirmier(ère), c’est une grande aventure humaine. Offres d'emploi!


"Je reçois beaucoup de gratitude et de reconnaissance"

« Vos soins sont mes soins » Il y a des années, j'ai obtenu mon diplôme d'infirmière. Pendant 10 ans, j'ai travaillé dans un hôpital, puis pendant 8 ans pour la Croix Jaune et Blanche. Et maintenant cela fait 8 ans déjà que je travaille comme infirmière indépendante. Je suis la fière fondatrice de Thuisverpleging Aalter-Knesselare.

Je suis extrêmement fière de mon titre d’Aide-soignante de l'année et je le dédie à tou(te)s mes collègues.

« Me sentir concernée par les soins que je prodigue ! » À l'âge de 15 ans, je le savais déjà : je voulais prendre soin d’autres personnes. Aujourd'hui, c'est toujours une vocation – quelque chose que vous devez également ressentir à mon avis. Une bonne dose d’amour, de respect, de tendresse et de discipline et vous êtes déjà bien partis. Entre-temps, cela fait 24 ans que je travaille comme aide-soignante à l'hôpital Onze-Lieve-Vrouw Ziekenhuis d'Alost, dans le service de neurochirurgie/chirurgie de la bouche, de la mâchoire et du visage.

« Ce n’est pas qu’un travail : c’est une vocation ! »

Après avoir suivi une formation d’enseignement supérieur en soins infirmiers via le VDAB, j’ai décidé quelques années plus tard – après le décès de ma mère – de reprendre mes études. À l’école supérieure Hogeschool West-Vlaanderen (Howest), j'ai obtenu mon diplôme de Bachelier et j'ai également suivi des cours de cardiologie, de radioprotection et de positionnement à l’aveugle. Et ce, toujours dans l'optique de la fonction que j'exerçais à ce moment-là. Continuer à apprendre me passionne.

Un sourire ne coûte rien, mais vaut tout l’or du monde.

Les études de langues, ce n’était vraiment pas mon truc. Du coup, quand j’ai entendu mon amie parler avec tant d’enthousiasme de ses études d’infirmière, j’ai décidé de m’inscrire à l’Institut Vesalius de Gand. Il a suffi d’un seul jour de stage pour me convaincre que j’avais pris la bonne décision. Cela a changé ma vie : j’ai compris que j’aimais prendre soin des gens, j’ai pris confiance en moi, et je me suis découvert un véritable talent pour la communication.

J’ai trouvé ma vocation quand ma grand-mère est tombée malade.

J’ai changé d’orientation plusieurs fois, sans jamais vraiment trouver ma voie. Comme j’adorais la cuisine grecque, j’ai finalement décidé de devenir chef-coq. Mon école secondaire ne proposait pas d’option Cuisine, donc j’ai rejoint la section Soins de santé par dépit, en attendant de pouvoir faire ce qui m’intéressait vraiment. Et puis ma grand-mère est tombée malade. Elle s’en est heureusement sortie, après un séjour à l’hôpital. Je lui ai alors promis de m’occuper d’elle si elle devait à nouveau tomber malade. Ce jour-là, j’ai trouvé ma vocation, et je n’ai plus jamais douté depuis.

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